Introduction par Pieter Bergé | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.10 |
avec une pause |
Tu as moins de 26 ans ? Goûtez à la musique et à la danse à moitié prix
Chostakovitch jouait le tout pour le tout en écrivant sa Cinquième symphonie. Il se heurtait depuis plusieurs années aux autorités soviétiques, et la patience de Staline était à bout. Mais avec sa Cinquième symphonie, il récolta un triomphe inconditionnel, auprès des critiques comme du public. En apparence, il marche au pas du régime – littéralement même dans les premier et dernier mouvements. Mais en réalité, il remporte un véritable succès. Son Premier concerto pour piano est tout aussi populaire. Le rôle particulier que le compositeur a assigné à la trompette est incontestablement unique, avec des éléments systématiquement surprenants, inattendus, humoristiques ou encore parodiques. On y trouve aussi des allusions à la musique de salon et au jazz ; pourtant, un voile de mélancolie et de tragédie est suspendu sur le tout. Le pianiste russe Alexander Melnikov est le soliste idéal pour redonner vie à ce concerto : son jeu est célèbre pour l’association exceptionnelle de fougue, de technique et de subtilité.
Dimitri Chostakovitch (1906-1975)
Symphonie n° 5 en ré mineur, opus 47
Concerto n° 1 pour piano, trompette et cordes, opus 35
Jörg Widmann (1973)
Armonica (première belge)
Dimitri Chostakovitch (1906-1975)
Symphonie n° 5 en ré mineur, opus 47
Concerto n° 1 pour piano, trompette et
Orchestre national de Belgique : orchestre
Andrey Boreyko : direction
Alexander Melnikov : piano
Leo Wouters : trompette
Christa Schönfeldinger : glasharmonica
Teodoro Anzellotti : accordéon
Orchestre national de Belgique : orchestre
Andrey Boreyko : direction
Alexander Melnikov : piano
Leo Wouters :
Introduction par Pieter Bergé | 19.15 |
début | 20.00 |
fin prévue | 22.10 |
avec une pause |
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